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Prêtre catholique

LE SACREMENT DE RECONCILIATION

" Si mon peuple, celui qui porte mon nom, s'humilie, prie et me cherche et s'il renonce à ses mauvaises voies, je l'écouterai du haut du ciel, je lui pardonnerai son péché et je guérirai son pays. " 2 Chroniques 7:14

 


Où et quand se confesser?

Généralement :

Les vendredis : A l'église Sainte Jeanne d'Arc entre 17h30 et 18h20

Les samedis : A l'église Notre Dame de Bon Secours entre 9h et 10h30

(à la maison paroissiale)

Merci de confirmer votre présence par SMS/WhatsApp avec le père Eugenio

  (en cas d'absence du Prêtre, sonner ou appeler)

En dehors de ces horaires, merci de prendre rendez-vous avec le Père Eugenio

Ecoutez la pratique de la confession - Père Eugenio

 

La confession des péchés (l’aveu), même d’un point de vue simplement humain, nous libère et facilite notre réconciliation avec les autres. Par l’aveu, l’homme regarde en face les péchés dont il s’est rendu coupable ; il en assume la responsabilité et par là, il s’ouvre de nouveau à Dieu et à la communion de l’Église afin de rendre possible un nouvel avenir.

Bien se préparer à se confesser

L’EXAMEN DE CONSCIENCE


Si vous avez dix minutes pour vous préparer à la confession, passez-en sept à regarder Jésus, puis, dans la lumière de son amour, rappelez-vous les péchés et les mauvaises habitudes qui entachent votre vie.

Cet examen de conscience doit éviter deux excès :
– une conscience amoindrie qui a perdu au moins partiellement le sens du péché ou – pire – qui dissimule les péchés graves; la conscience doit être fine et délicate: elle rejette le péché qui offense la bonté de Dieu à notre égard;

– une conscience scrupuleuse qui se perd dans le détail de péchés parfois imaginaires.

LA CONTRITION
 

C’est la souffrance d’un cœur qui regrette son péché et pleure son mal, non pas tant par crainte du châtiment, que par douleur d’avoir blessé l’Amour du Père. Sans contrition sincère, le pardon ne peut être donné, parce que l’orgueil de l’homme fait obstacle à la Miséricorde de Dieu.

 

Acte de contrition :

« Mon Dieu, j’ai un très grand regret de vous avoir offensé, parce que vous êtes infiniment bon et infiniment aimable, et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce, de ne plus vous offenser et de faire pénitence. »

OU

« Mon Dieu, j’ai péché contre toi et mes frères. Mais près de toi se trouve le pardon. Accueille mon repentir, et donne-moi la force de vivre selon ton amour. »

La célébration du sacrement

Commencer par le signe de croix rappelle que Jésus m’a déjà purifié au baptême. Il est bon de préciser, au moins de manière approximative, la date de sa dernière confession et de se présenter rapidement: situation familiale, éventuellement profession, etc…

 

LA CONFESSION DES FAUTES
 

Elle doit être précise, sincère et complète. On accuse des actes précis et non pas seulement des tendances générales. Quant aux péchés graves – actes pleinement conscients et volontaires qui violent les commandements de Dieu – ils doivent être tous confessés. Celui qui par honte ou par peur cache une faute, ou tente  d’en dissimuler la gravité, essaie en vain de mentir à Dieu. Le prêtre est tenu au secret absolu vis-à-vis de ce qui relève de la confession.

 

LE PARDON DES PÉCHÉS
 

Il est exprimé au moment où le prêtre, après avoir écouté la confession et donné quelques conseils, trace le signe de la croix en disant : « Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés. »

Le prolongement de la célébration

Le prêtre donne une PÉNITENCE :

 

Ce peut être une prière, un jeûne, une aumône, un sacrifice, un effort…
C’est une manière de s’acquitter de la dette d’amour qu’on a contractée vis-à-vis de Dieu par le péché. Il ne faut pas tarder à faire sa pénitence, et il est indispensable de s’en acquitter pour recevoir tous les fruits du pardon. Il importe de remercier Dieu pour les bienfaits reçus de sa miséricorde.
Le changement de vie vient de la CONVERSION du cœur: «Désormais, je prends la ferme résolution par amour de Dieu – d’éviter le péché et de me tenir aussi éloigné que possible des occasions de chute. Et s’il m’arrive de retomber, je reprendrai de nouveau le chemin du pardon.»

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